La nuit tombait doucement sur paris, enveloppant les toits d’une défiance diffuse que seules les lanternes venaient déchirer par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée devant elle, son regard oscillant entre atour et transe. La voyance, qui jusque-là n’avait persisté pour elle https://zionzmvdj.blog-ezine.com/33714488/les-lettres-du-bagatelle