Arthur resta figé sur la scène, l'attention précis sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, aucun mouvement, zéro brise assez grande pour ordonner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, à savoir s’il répondait à bien une présence indiscernable. https://stephenahotz.myparisblog.com/34325189/la-dernière-opinion-suspendue