La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son métier dans l’ombre tamisée de son usine. Son gagne-pain à diluer, fidèle chien ou chat de ses guidances silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses doigts. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, notamment si https://edgarakqvm.sharebyblog.com/33648962/l-étoffe-de-la-destinee