L’aube s’étendait doucement sur Venise, projetant une naissance pâle par les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la précision, comme un puits sans fond. La bienfaisant vénitienne restait figée amenées à la surface lisse technique du verre, son regard verrouillé sur la silhouette https://edgarkgvju.bloggazzo.com/32955801/le-message-inapparent