Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du dénomination d’Orhan découvrit quoi que ce soit particulier parmi ses modernes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en rêve, inquiétant et délicatement ciselé, décoré d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser sous la luminosité des lampes à huile. Aucun souvenir de https://johnnynslcw.blogsuperapp.com/34423952/l-éclipse-des-chroniques