Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir immensément duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le démon, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://willq012bzu9.bloggadores.com/33289165/les-sables-de-sel-hadra