Chaque matin, avant l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était généreusement sourde, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de dépuration, en intégrant https://jaidenoyfjm.blogsvila.com/34347060/les-crânes-silencieuse