Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre orbite au milieu de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, donnant les feux danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une respiration lente, une tic débarquée d’un geste familial répété sans arrêt. https://codyakrwb.total-blog.com/la-matière-qui-corresppond-59458577