Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre courbe au noyau de son atelier. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, donnant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une rituel née d’un acte traditionnel répété perpétuellement. Les morceaux, https://donovangbulc.bloggadores.com/33406908/les-lignes-qui-persistent